Badami… ca change la vie ! Bon, du moins le cours du voyage…

(du 7 au 11 janvier 2010)

A partir d’Aurangabad, tout ne fut pas tres facile.

Tout d’abord, nous avons experimente quelque chose d’interessant, a savoir, le trajet de nuit en bus-couchette. Oui, oui, vous avez bien lu : couchettes dans un bus ! J’ai ete moi-meme tres etonnee, intriguee puis ravie. Chouette, on va donc pouvoir dormir dans le bus !

Dans la pratique, le mot chouette a disparu.

Tout d’abord, j’avais les intestins en vrac. Aucun souci depuis le debut du voyage, mais… la seule nuit ou on a impossibilite to-tale d’aller aux toilettes… moi j’avais les intestins en vrac. Pas chouette, donc.

Bon, encore la nuit aurait ete bien calme… mais, les routes indiennes ont la particularite de faire sauter environ toutes les 15 secondes, n’importe lequel des vehicules… et un vicieux filet d’air frais n’a cesse de nous importuner. Non, non, pas tres chouette.

Arrives le matin dans la ville de SOLAPUR, deja, on trouve des toilettes. (chouette). Puis, nous reprenons un autre car, qui nous conduit a BIJAPUR. La ville est plus qu’hostile, j’ai mal au bide, on se fait litteralement aggriper par des femmes qui mendient.

2eme arret toilette dans un hotel, et on fuit.

3eme car d’affile qui nous conduit a KERUR, ville etape dont nous ne voyons que le centre de bus, peu de touristes, les gens sont en pleins safari et nous, nous sommes les 2 petits tigres egares que tout le monde observe. Moyen chouette.

4eme bus qui nous conduit (enfin !) a BADAMI.

Le centre ville de Badami n’est pas, a proprement parler, agreable et beau. Nous logeons dans un petit hotel accole a la place du marche ce qui en fait un endroit actif. Le rez de chaussee de l’hotel est occupe par un restaurant tres bon marche, ce qui en fait rapidement notre cantine officielle.

Un peu fatigues par nos aventures, nous nous reposons beaucoup la 1ere journee.

Le lendemain, apres mure reflexion, Philippe decide de passer entre les mains d’un barbier-coiffeur…

En attendant son tour, voici ce qu’il vit.


Barbier a Badami
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Ne se laissant pas pour autant decourager, et tout de meme intrigue par la bonhommie du monsieur, il passa entre ses mains.

Avant

Avant

Apres

Apres

Un des temples

Un des temples

Fort de son allure toute neuve, et moi du repos bien merite, nous nous rendons l’apres-midi sur un tres beau site : Pattadakal. Il s’agit d’un ensemble de temples hindouistes et d’un sanctuaire jain, eriges au VII et VIIIe siecle

Nous en prenons plein la vue, c’est vraiment bien conserve.

C'est beau hein !

C'est beau hein !

De l'exterieur

De l'exterieur

A l'interieur d'un temple (sans flash...)

A l'interieur d'un temple (sans flash...)

Voici nos nouvelles amies... sur le site

Voici nos nouvelles amies... sur le site

Un the en attendant le bus du retour... se transforme en seance photo (heu, oui, les indiens sont tres tactiles entre eux)

Un the en attendant le bus du retour... se transforme en seance photo (heu, oui, les indiens sont tres tactiles entre eux)

Le lendemain matin, nous decidons d’aller dans les hauteurs de la ville, voir les fameux temples incrustes dans la roche.

Philippe prend de la hauteur

Philippe prend de la hauteur

Temple incruste dans la roche

Temple incruste dans la roche

La balade est agreable, ca monte bien, mais la vue est superbe vue d’en haut.

Nous decidons de rentrer a l’hotel avant de nous en aller en bus a Aihole (un autre village pittoresque) mais la suite fut tres differente.

En chemin vers le centre ville, nous rencontrons 2 francais qui nous proposent d’aller voir un temple tres peu touristique avec meme possibilite de se baigner a proximite. On discutaille et puis nous nous decidons a envoyer balader Aihole ! Ce seront nos compagnons de route durant 3 semaines-1mois.

Jeunes gars dans le bassin du temple

Jeunes gars dans le bassin du temple

C’est parti pour 1h30 de marche dans la steppe avec Yves et Martine, deux soixantenaires.

Yves est retraite de l’enseignement et Martine est infirmiere. La discussion va bon train, Yves parle meme le Kennara, la langue du Karnataka (l’etat indien ou nous sommes actuellement).

En chemin nous apprenons qu’Yves et Martine font partie d’une association ayant pour but d’aider aux etudes, aux reparations de maison et aides diverses pour les habitants d’un village et de ses alentours. Nous entendons parler de Naganahalli, ce village chretien du Karnataka, ou pointe un debut d’invitation, et dont vous saurez tout un peu plus tard…

Nous allons le soir meme a une foire de village tous ensemble apres avoir dine a notre cantine. In-se-pa-rables.

Nous prevoyons de nous retrouver a Hampi, notre prochaine destination.

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Aurangabad de grotte en grotte

(du 4 au 6 janvier 2010)

Un beau matin du 04/01/10 nous nous reveillames dans le Youth International Hostel d’Aurangabad. Le voisin d’en face ayant lance une invitation a petit dejeuner, nous etions frais, pimpants et prêts pour 8h30. Sameer Malkhare nous attendait bien, nous dejeunames en famille.

Comme il se doit, les parents de Sameer habitent avec lui. Il gere l’entreprise de construction familliale que lui a laisse son pere en retraite. Ils viennent aussi d’ouvrir une usine de fabrication de sable (Broyage de Pierre) : nous sommes chez des indiens dynamiques. Nous avons passé un bon moment et quelques mails ont ete echanges ulterieurement.

Globalement rien d’extraordinaire n’a ete fait a l’interieur d’Aurangabad. Nous sommes alles visiter 2 sites UNESCO (On se deplace pas pour rien nous…). Nous avons fait ami-ami avec 2 coreennes rencontrees au youth hostel. Remarques : les coreens ont tendances a s’agglutiner quand ils se rencontrent a l’etranger, mais ya moyen de bien se lier avec eux.

Ajanta :

C’est un ensemble de grottes creusees a mi-hauteur d’un canion en forme de fer a cheval. La vue sur le canion avec les grottes etalees tout du long est vraiment saisissante. L’interieur des grottes est peint (Pour les plus interessantes) de representations de Shiva et de toute la mythologie hindouiste. On etait accompagne de nos 2 copines coreennes comme nous avions loue une voiture ensemble pour aller sur le site. On a fait un petit film pour vous faire voir l’ambiance sur les routes indiennes.


Aurangabad – Coup de voiture vers Ajanta
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Ajanta dans une grotte
Ajanta dans une grotte
Nous devant le canion
Nous devant le canion

Ellora :

Aussi un ensemble de grottes regroupees dans un meme lieu mais la ya pas de canion. L’originalite du site c’est que toutes les grottes ne sont pas hindouistes. Il y a les 3 grandes traditions indiennes : hindouisme, jainisme, boudisme.

Certaines facades de grotte sont sur 3 etages, le tout, bien sur sculpte dans la roche. Sinon dedans c’est statues de boudha et de shiva et de boudha et de krishna…

Temple creuse dans la roche
Temple creuse dans la roche
Fadia se fait des copines au temple
Fadia se fait des copines au temple
Ajanta - temple orange soleil couchant
Ajanta – temple orange soleil couchant

Comme nous etions arrive en bus, nous nous apretions a reprendre le bus pour rentrer mais un haleur dans un 4×4 a reussi a nous faire monter dans son vehicule pour un prix sensiblement similaire au bus. Ca nous a permis de decouvrir cet autre moyen de transport : la grosse voiture semi-public. A premiere vue on compte 9 places assises en dehors du chauffeur mais il semble que des reccords puissent s’etablir a 20 ou 25 passagers. Comme on etait 5 europeens (Par hasard) et qu’on avait paye plus cher que tout le monde comme d’habitude, ils ont eu l’obligence de ne pas trop nous serrer. Par contre devant et derriere c’etait fabuleux. Il y a quelques autres particularites a ce systeme : Quand ya plus assez de monde dans le vehicule on s’arrete a un carrefour de village et le « manager » se remet a crier la destination pour rabattre du monde. On a vu des passagers se faire redescendre du vehicule car une tierce personne a une destination qui fait faire moins de detour au vehicule. Le « manager » qui vous a fait monte dans le vehicule n’est pas le meme quand vous arrivez a destination. Mais malgre tout ca l’important c’est bien d’arriver a destination non ? Meme en mettant 10mn de plus que le bus.

Voila pour Aurangabad.

Ajanta vue d'ensemble
Ajanta vue d’ensemble
Des bas-relief par ci par la
Des bas-relief par ci par la
Poteau et contre-jour
Poteau et contre-jour
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En direction d’Aurangabad, 1er train, 1eres sensations

 
Train en gare de Victoria Station
Train en gare de Victoria Station

1er transfert en Inde de Mumbai a Aurangabad le 03/01/09.
Le trajet se fait en train en 2nd classe. Depart vers 13h30 de Victoria station.  Ce train est plus large que ceux que nous connaissons en europe. Il y a un couloir central entoure de chaque coter par 3 sieges, donc c’est pas forcement bien d’etre a la fenetre si on veut pouvoir bouger un peu. Au plafond sont accroches de nombreux ventilateurs. Les fenetres ont des bareaux. Il n’y a pas de poubelles… a preciser.

Train pour Aurangabad Train pour Aurangabad

Nous avons eu les places centrales ou 3 sieges font faces a 3 autres sieges avec une table au milieu (Idem de l’autre cote du couloir). Le trajet dure 8h, au bout de 4h une conversation commence avec les gens, qui ne s’arretera pas jusqu’a l’arriver. Ca ne s’arrete jamais de parler, il y a 10 personnes qui participent a la conversation. On nous offre a manger et a boire.  Apres avoir connu Mumbai avec beaucoup d’interlocuteurs  dans le business du tourisme, nous voici nez-a-nez avec gens desinteresses financierement mais curieux de parler avec nous qui venons de loin. La plupart d’entre eux sont en train de faire un grand trajet pour le travail ou pour revoir de la famille, ils sont detendus et notre presence insolite (Pour qui ne bosse pas dans le tourisme) agremente joyeusement leur voyage.

 

On a dit 3 places les enfants !!!!!! On a dit 3 places les enfants !!!!!!

Le train en inde semble du premier abord moins confortable que le train francais. Evidemment nous n’avons pas eu le courage, ni le temps (Conversation oblige) d’aller visiter les toilettes. C’est sur que ca va moins vite et que comme les fenetres sont ouvertes en permanence ca fait plus de bruit.  Les fauteuils, meme s’ils sont un peu sales, sont assez confortables. Mais le grand luxe inestimable du train indien de grande distance, c’est qu’il y a une armada de marchands embulants qui passent en permanence dans les wagons. On peut donc se faire servir « au fauteuil », des bouteilles d’eau fraiches, jus de mangue en brique, the chaud, chips, samossa, piments doux en beignet et  sucreries a des prix assez derisoires pour faire vomir tous consommateur averti de sandwich SNCF.
En fin de compte, voici ce qui nous a le plus deranger, Europeens que nous sommes. Comme dit plus haut, il n’y a pas de poubelle dans ce train. Toute la question est de savoir si les gens jetent leurs detritus (Papier et plastiques compris) parce qu’il n’y a pas de poubelles ou bien si on n’a pas installe de poubelles comme il est logiquement plus simple de jeter ses detritus par la fenetre. Non sans deconner, nous avions bien constate que beaucoup d’endroit etaient des depotoires a improvises, mais la nous avons pu voir la population en plein travail de « salissage ». Evidemment nous ne jugeons pas, comme nous esperons qu’ils ne jugent pas le malin plaisir que nous trouvons a venir claquer des sommes exorbitantes devant des gens qui crevent la dalle (Un exemple parmis tant d’autres). La seule chose que nous pouvions faire, c’est de nous mordre les levres et d’emporter nos dechets en sortant du train. C’est comme ca, ca fait parti de la rencontre de l' »autre ».

 

 

Fadia et les gens dans le train Fadia et les gens dans le train

 

La pote a Fadia et son frere, ca parle anglais et tout... La pote a Fadia et son frere, ca parle anglais et tout…

Le trajet s’est ainsi tres rapidement deroule et nous sommes arrives a destination a l’heure prevue.
A 20h45 descente du train, a 21h30 nous occupons une chambre au youth hostel de la ville, a 22h15 nous mangeons un delicieux plat a emporte d’un restaurant tout proche : le couvre feux est a 22h normalement. Le passage express au restaurant a permis que nous nous fassions inviter pour le petit dejeuner chez un voisin du Youth Hostel.

C’est une autre histoire

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Tout commence a Bombay

Arrivée en Inde au petit matin du dimanche 29 décembre.

6h30… il fait déjà chaud.

Nous sommes encore dans la coque protectrice de l’aéroport mais la vision de la multitude de gens amasses aux fenêtres extérieures nous indique que l’activité bat déjà son plein.

Des la sortie, nous sommes harcelés de partout. Deux points positifs dans cette situation :

1/ La Turquie a été un bon entrainement au harcèlement par les marchands, les hôteliers, restaurateurs et taxis en tous genres

2/ Nous sommes en plein jet lag (pour nous il est 3h du matin) ce qui nous donne l’attitude souhaitée pour décourager plus rapidement l’indien en mal de vente.

L’étape suivante nécessitera bien 20 mn : trouver le taxi que nous venons de réserver a partir de l’enceinte de l’aeroport. La, un système plus qu’interessant s’offrait a nos yeux plus que fatigues. Imaginez un petit Orly avec ses venelles de circulation. Imaginez ces venelles remplies sur 1 km de taxis, moitie en stationnement, moitie circulant au pas. Imaginez un type avec un petit haut parleur hurlant le numéro du taxi qu’il recherche.

En cas d’echec de recherche (ce qui semble arriver souvent…), le 1er taxi qui arrive a se saisir du papier de réservation du client, raye le numero du taxi non trouve et y inscrit le sien.

Y a pas a dire, c’est une organisation huilée comme une artillerie militaire !

Bref, nous montons dans notre véhicule jaune et noir et la… ceux qui ont déjà vu les fameux films en 3D avec une coccinelle qui roule a toute allure peuvent comprendre a quoi ressemblait la conduite de notre chauffeur. Ça réveille un bon coup.

Et scoop du siècle (pour nous en tous les cas…), lorsque le type s’est arrête faire le plein, nous avons appris que les taxis de Bombay roulent au gaz !

Taxi indien typique

Taxi indien typique

 

Le programme de la journée a été simple, petit dej, dodo jusqu’au milieu d’après-midi, balade, manger, dodo. Tres chouette. 😉

Dans notre minuscule 1ere chambre a Bombay

Dans notre minuscule 1ere chambre a Bombay

 

Une des entrée de la gare Victoria

Classe patrimoine mondial de l'Unesco quand meme !

Classee patrimoine mondial de l'Unesco quand meme !

Les jours suivants, balade dans la ville, on a visite la gare Victoria Station.

La, c’est Church Gate Station… Vous trouvez pas qu’il y a un petit air de Slumdog milionnaire (bon la, faut avoir vu le film…) ?

Church gate station... slumdog...

D’ailleurs, dans cette gare, un événement quotidien impressionnant (pour nous autres européens…) : tous les jours a 11h30 très précises, on peut assister au débarquement des Dabawallahs. Ce sont les livraisons de nourriture qui arrivent via un train spécialement affrété pour cette tache. Des milliers de gamelles, préparées selon les rites des castes sont distribuées aux fonctionnaires et employés de bureau dans tout Bombay. Selon les rites relatifs aux castes, il est interdit a de nombreux indiens de manger de la nourriture préparée n’importe comment et par n’importe qui.

Les Dabawallahs

 

Nous avons également visite un temple Jain (prononcer ja-in) durant une cérémonie de mariage. La photo est de haut, on pouvait tout voir de façon discrète. La cérémonie est hyper répétitive… chaque invite vient avec une assiette d’offrande vers les maries et le « pretre ». L’assiette est en quelque sorte benie puis ils déposent les offrandes de façon a former un ensemble très régulier ou a faire un dessin.

Ceremonie Jain

Ceremonie Jain Ceremonie Jain

Les Jain forment une minorité religieuse en Inde, environ 0.8%. Ils sont évidemment végétariens mais leur culte leur interdisant toute atteinte a la vie, ils ne mangent pas non plus les pommes de terre, les carottes, etc… ( car cela tuerait les bactéries… aheum !).
Lorsqu’un jain veut s’asseoir par terre, il aura pris soin de balayer le sol, pour ne surtout pas écraser d’insecte… tout une philosophie de vie quoi.
Un peu plus tard durant notre trip en Inde, on va se retrouver dans une ville a majorité Jain… mais ceci est une autre histoire.

En parlant de manger… Philippe et moi avons découvert les thalis !!!!!

Le thali se mange avec les doigts

Sorte de plat typique complet avec 4 sauces environs, des chapattis, du riz, du yaourt et parfois un truc sucre… et pour la modique somme de 30 a 60 roupies en général ( 50 cts a 1 euro)

Sinon, Bombay, c’est aussi ça…
Quant la misère cotoie les avenues proprettes

Un petit bidonville en bord de mer

Un petit bidonville en bord de mer

 

Dieux Jain

 

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Deuxieme passage a Istanbul et depart

 

Ce deuxieme passage se deroule du 24/12/09 au 28/12/09.

Pour commence on s’est trouve un logement dans le meme quartier que la premier fois : c’est pas forcement malin mais c’est comme ca on peut plus rien y faire.

Voila les grandes lignes.

Feter noel :

On a « fete » noel avec Catherine, une sympathique francaise bilingue turque que nous avions rencontre a Egirdir. Comme elle s’appretait a passer noel seule et que nous aussi, nous avons decide de passer noel ensemble. On a commence par un petit the en ville. On est passe au cinoche mais rien de nous a rassemble. On est alle manger du poisson bien frais sur la cote de la mer de Marmara. On s’est fini dans le quartier de Sultanahmed a coup de Narguile et Baileys et Countreau (Ca s’ecrit pas pareil mais c’est bien l’original !!!). Donc petite soiree sans pretention mais bien sympathique.

Visite de la cote asiatique :

Plutot sympas comme cote. Tous commence par une traversee du Bosphore en bateau. Cette traversee fait vraiment partie de la vie quotidienne des stambouliotes de tout ages, elle dure 20 min et on se retrouve a voguer parmis les cargos et les petits bateaux de peche. Le bateau est suivis par une belle nuee d’oiseau comme il y a toujours des gens pour leur jeter des gateaux, ca fait aussi de l’animation.

Les oiseaux et le Bosphore

Les oiseaux et le Bosphore

Nous avons commence par longer la cote a pied puis nous sommes rentre en traversant le quartier residentiel qui est completement different de la rive europeene. A la fin on a traverse le quartier actif pour les etudiants avec marchant de livre, d’instruments de musique, bars et un petit marcher pour le plaisir de prendre un bain de foule.

Ballade sur la cote asiatique

Croisiere sur le Bosphore :

Depart vers 10h30 du pont de galata. Le bateau remonte le long du Bosphore jusqu’au dernier village avant la mer noire. La nous mangeons dans un attrape touriste (Pas le choix le piege est bien regle) et nous montons voir le fort qui domine l’embouchure entre le bosphore et la mer noire. Quand on pense au nombre de bateaux et de batailles…

Pont et maisons sur le Bosphore Pont et maisons sur le Bosphore
Philadia a l'embouchure mer noire/Bosphore Philadia a l’embouchure mer noire/Bosphore

Retour par le meme chemin sans se priver d’une petite sieste. C’etait une belle ballade, ca detend. Le chemin est jalonne de 2 grands ponts dont un est sur toutes les photos classiques d’Istabul. Il ya aussi des palaces et de jolies maisons « bourgeoises » tres bien situees au bord de l’eau.

Depart :

Apres une derniere Chicha du soir, apres avoir calcule que nous sommes reste 17j au lieu de 14j (Pour le meme budget m’est ce pas !!) : il est l’heure de partir.

Last narguile at Istanbul Sultanahmet Last narguile at Istanbul Sultanahmet

Traditionnellement le depart se fait de l’aeroprt Ataturk. C’est un vol GulfAir.
Le premier vol nous emmene  a Barhein, rien a signaler.
Belle escale de 5h dans un monde que nous ne pouvons qu’entrevoir. Il y un Mac Crad’, ouf !!

Non j'ai pas pris de menu !!!!!!!!!!! Non j’ai pas pris de menu !!!!!!!!!!!

Deuxieme vol c’est le coup de bol : on se fait surclasse en classe affaire. Faut dire que ca change tout. Le service de boisson et « cachounnettes » commence avant meme que l’avion ne ferme ses portes. La bouffe est ultra classe et le vin (Qu’on nous fait gouter) est a discretion. Fauteuil totalement electrique, la place pour etendre les jambes. On peut baisser le fauteuil sans deranger derriere. Bref on rigole bien et conclusion : on ne se repose pas en classe affaire, on profite.

Philippe a "la classe affaire" Philippe a « la classe affaire »
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