Santa Cruz – Asthénie

(Du 2 au 11 Aout 2011)

 

Tout le monde a ses problèmes. Trop de fringues dans la garde robe et ne savoir que mettre. Riche et vouloir payer moins d’impots. Passer du 90D au 100C. Trouver sa Ferrari un peu mole en seconde. Bref, Dieux tape sur tout le monde et personne n’a le droit d’être parfaitement heureux. Pour le voyageur, apres 20 mois de voyages, il peut arriver qu’un certains manque d’entrain se cristalyse insidieusement, alors même qu’il est a deux pas de beautées exotiques faisant baver la plupart des ses amis. Pardon à tous !!! Difficile de dire ce qui se passe vraiment, mais il doit y avoir plusieurs facteurs. Deja il faut dire que voyager longtemps c’est un vrai travail en soit. On cherche, on bouge, on negocie, on promet de se reposer ce soir mais une conversation se prolonge avec de nouvelles connaissances. En plus, si on ne fait rien, la culpabilite vient assez vite et ça fatigue le crane aussi. C’est peut etre irrationel vu de l’exterieur…

Bref nous voici arrive a Santa Cruz, capitale de l’orient boliviens, de la grande pleine tropicale ou se develloppe une partie de la foret amazonienne. Apres 2 mois de froid en Argentine, on peut a nouveau dormir avec presque rien sur nous et prendre un petit dejeuner sans grelloter. C’est ça qu’on était venu chercher ici.

Une partie de la glande s’est deroulée dans le quartier de la gare ou nous avons decidé de loger pour aller au centre en microbus (Un mini van) et ne pas vivre trop dans un monde hanté par les touristes. Dans nos reves les plus foux, nous sommes les seuls touristes au monde… On etait bien : un bon cafe internet, un restaurateur qui devient un ami et… juste de quoi tourner en rond. La deuxieme partie de la glande a été passée chez Stephane et Violaine qui nous ont recu en couchsurfing, à l’autre bout de la ville.

Un ami a la gare.
Une valeur sure pour le voyage, c’est la fidelité. C’est vrai que parfois c’est bien d’aller manger dans tous les restaurant de la ville. Mais dans un pays comme la Bolivie, la varieté culinaire est assez restreinte. Aussi, le confort, le plaisir, le bonheur, c’est de retourner régulierement dans le meme restaurant, ou au meme marchand de fruit etc… pour gagner des sourires et des conversations, ça vaut de l’or. A la gare, on mangeait chez Raoul (restaurant Sucre). A la base personne ne sourit ici. C’est en face d’une gare de bus internationnale (Bresil proche oblige) et les clients ne reviennent jamais 2 fois, sauf nous. Aussi Raoul a eu envie de nous papoter un peu. Ça lui faisait plaisir certainement parce qu’il a bosse 2 ans sans papier en Espagne et qu’il garde une bonne image de l’europe malgre tout. Malgre tout, parce que la vie en espagne n’a pas été facile. Le travail au black est un monde de truand et sa femme a voulu rester en espagne quand lui est rentre, hypnothisée qu’elle a été par notre vie européenne. Lui s’est dit qu’en fin de compte il etait tout aussi capable de devenir heureux en Bolivie. Il est donc rentré sans plus de sous qu’a l’aller et a ouvert ce resto super bien situe en face de la gare. Ça fait travailler sa mère, ses frère et une partie de ses nombreux enfants. Raoul est heureux et donc a chaque fois qu’on mange chez lui et qu’il s’assoye a la table, ça nous rend heureux aussi.

Un couchsurfing.

Stéphane et Violaine sont des immigrés Français, arrivés en Bolivie avec leur fils de 3 ans. Ils font de l’importation de produits français comme la moutarde, le foie-gras et le pinard. Ils viennent juste de finir de vider le premier contenaire avec l’aide de Maxim qui est associe dans l’affaire. Du fait de ce boulot ils ont pleins de choses a raconter a propos de la Bolivie, avec un point de vue différent de celui du voyageur lambda. Leur but final est d’acheter un bout de terre en bolivie et de vivre en autonomie maximum. On est restés chez eux 5 jours, dont les 2 jours de leur week-end a la campagne. Comme ils ont un projecteur, on en a profité pour regarder Inception et Solution locale pour un désordre globale. Les 2 nous ont sonné la tête et on vous les conseils. Notre vie serait elle changée a jamais ? Merci Coline Serreau, merci Stéphane et Violaine.

2 visites.

Oui nous n’avons fait que 2 visites a Santa Cruz. Une au musée d’histoire vraiment ennuyeux et une au musée d’histoire naturelle accé sur le Parc Nole Kempff Mercado, située en plien amazonie.

Bref on a vraiment glandé ici mais qui dit si ce n’est pas pendant de tels moments qu’on comprend certaines choses… ?

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Camiri et Riva

(Du 25 juillet au 2 aout 2011)

C’est toujours un grand moment un passage de frontière pour un pays inconnu. En partant de Salta (Argentine), un bus pouvait nous emmener a Sant Cruz de la Sierra à l’est de la Bolivie. Comme le bus devait arriver a 22h30 dans cette ville inconnue, nous avons decidé de coller aux principes de securite mis en place depuis le debut du voyage : ne pas arriver de nuit dans une ville inconnue. Nous descendrons 5h avant dans une ville sans interêt aucun : Camiri.

Le passage de douane s’est passé de façon presque exemplaire. Sortie d’Argentine : facile, un tampon et basta. Entrée en Bolivie : facile aussi, comme au MacDrive à la fenêtre exterieure du bureau, qui est justement a coté de la barriere jaune-noire marquant la sainte separation. On craignait la petite taxe speciale gringuitos mais, peut etre parce qu’on a été géré par l’équipe du bus, ils ne nous ont rien demandé. Et puis… en retournant gaiements vers le bus… c’est presque le drame. L’impossible était arrivé. Le tampon d’entrée en Bolivie était daté du 23 juillet alors que nous venions de sortir d’Argentine un 25 juillet, autre tampon a l’appuis. Que se passe-t-il, que faire, qui nous en veut, pourquoi, et si dieux n’existait pas ? al’ultime question étaitde savoir si c’était l’heure oú nous devrions parler la main sur le portefeuille dans un bureau sans fenetre Mac Drive. Mais non !!! Apres une analyse fine de la situation, la conclusion a été que le 5 par dessus le 3 passerait très bien. C’est muni d’un oeuil qui vallait trois milliards et d’un savoir faire peut être millenaire, que le douanier a retamponné, au millimetre près, son propre tamponnage.
Nous retournons ainsi heureux au bus. Le chauffeur qui connaissait notre probleme, regarde les nouveaux tampons (Double couche) et fait remarquer qu’il n’y avait pas d’inscription notant la durée de sejour autorisée. Serions nous maudits ? En fait la durée était indiqué sur la feuille volante. On a reussi a repartir le coeur leger.

Camiri.
Les bus est arrivé avec les 2h de retard, prises le matin dans un embouteillage argentin. Camion+ tracteur +boum=personne ne bouge. Au moment de prendre un taxi, je sens que Fadia pourrai demander a une dame qui a l’air de retourner en ville en voiture, si elle ne pourrait pas nous déposer. Ca tranche beaucoup avec la reserve necessaire pour faire ses premiers pas dans un pays d’aussi mauvaise reputation (Cf le site de notre cher gouvernement) mais que voulez-vous, il y a des jours ou le flaire fait taire toutes les craintes. Redoublant de gentillesse, au moment de nous deposer a l’hotel, elle nous invite a venir prendre un café le lendemain. C’était le debut d’une des histoires les plus sympas du voyage.
On est resté 8 jours a Camiri et avons vu Riva chaque jour. L’invitation a boire un café a précédé l’invitaiton a faire un tour en voiture, qui a précédé une invitation a manger chez elle, à laquelle nous avons répondu par une invitation a manger au restaurant, qui a été suivi d’autres cafés et ballades en voiture. Il n’y eu plus « rien a faire a Camiri ». On a demandé quand même a Riva et sa soeur Carmen (De passage aussi a Camiri) si ça ne les fatiguait pas de nous voir chaque jour. Elles ont dit que ça les changeaient de la monotonie d’une vie de petite ville de campagne.
Grâce á elle nous avons pu voir : une petite ferme qui fait de la canne a sucre, une usine de pompage de produits pétroliers et pas mal de rues de Camiri.
La ferme. Après être allé voir la rivière qui longe Camiri, on est passé boire un jus de canne frais. C’est carrement bon et en plus ca permettait de voir un peu la ferme et tout ce qui y fait plaisir : veaux, canards, pressage de la canne, préparation d’une sorte de dessert a base de jus de canne dans une grand recipiant chauffé au feu de bois.
Usine de pompage. Riva a des chambres à louer et l’une d’entre elle est louée a un ingenieur responsable d’une petite usine de pompage/stockage sur le reseau Santa Cruz-Sucre. Le gars a fait visiter le site. Il a expliqué le fonctionnement. Sa pompe fait partie d’un systeme de 5 ou 6 pompes qui jalonent l’oleoduque. Il pompe des produits rafines comme la gazoline, le diesel et aussi du gaz. Un aspect surprenant pour nous gringos (Blancs du nord ou d’europe) c’est qu’ici a Camiri, ville vivant de l’activité pétrolière (Il y a quelques extraction aussi), il n’y a pas d’equipe de pompiers specialisés. Ce sont eux les pompiers en cas de probleme, les 2 gars de permanence sur le site. Ça le fait marrer. En un sens il vaut mieux prendre ça au second degré.

Pas mal de rues de Camiri. Plusieurs fois nous sommes nous retrouvés dans la voiture de Riva. Une fois je l’ai même conduite parce Riva n’aime pas les chemins pentus et tortueux. Bref, grace a ces petits tours en voiture on a pu remarquer que pour Riva, faire un tour en voiture c’est : un but de depart puis flanner dans les rues en agrémentant de coucous de-ci de-la. C’est une activite polluante certe mais qui lui permet de passer un peu le temps. Une fois, c’est le chef de la station de pompage qui nous a fait le numéro de ballade dans la ville. Serai-ce un sport national ?

Voila. Apres avoir fait quelques cadeaux littéraires à Riva et l’avoir fortement invité a essayer de venir en France ou nous l’accueillerons avec toutes les commodités d’usage, il a fallu repartir vers de nouveaux horizons.

Extraction du jus de canne

 

Litterature religieuse

Maté géant

Jus de canne frais

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Salta… il y a glande… et glande

(Du 13 au 25 juillet 2011)

 

La, on n´a rien fait…
Enfin, presque rien… mis a part changer d´hotel a 3 reprises. Eh oui, en pleine saison, la ville est pleine de touristes et les hotels aussi… Donc faute de place en continu dans un endroit, on s´est adapté.

C´est plutot sympathique Salta, c´est mignon, propre. Mais on n´a rien visité mis a part une eglise ou 2. Rien de rien.
On a bien fait quelques rencontres…

famille argentine rencontrée a l´hotel

On est allé a internet, on a assisté a la déchéance de l´équipe de foot d´Argentine, on a mangé des Alfajores… quoi ? je ne vous en ai pas déja parlé ?  😉

Bon, il y a eu des bonnes bouffes quand meme, comme quand on s´est acheté des Ris de veau…   ou des bonnes glaces. On a aussi trouvé la plus grande Milanesa du monde dans un stand du marché central ¡¡¡¡   Et on est allé dans un resto de bon standing, la Doña Salta pour deguster encore une fois les spécialités locales. Le Tamale, bouille de farine de riz fourrée à la viande et cuite dans des feuilles de mais, entre autres.  Et on a aussi découvert les patates andines au marché : trop bon et une forme tres particulière…

Patate andine

Mais Salta, c´est aussi la ville où nous avons débuté une belle carrière de téléphages. On a regardé la série Harry Potter au ciné et à la télé, on a revu la Ligne Verte. Comme d´hab j´ai bien pleuré… et puis pleins de nullités…

Au ciné

La salle de projection au ciné

Bon et puis voila, à part nos virées au Carrefour de la ville et la montée en téléphérique de la colline de la ville, Salta ca n´a été que ca. Pour nous.

 

Photos en vrac :

Qui c´est qui voit l´arc-en-ciel ?

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Foo-fooooooooooot !!!!!

(Le 20 juillet 2011)

Perso on est pas trop fans de foot. La plainte de certains de nos lecteurs (Hi hi hi, un jour je serai directeur de presse…) sur le manque de rapports circonstanciés a propos de la COPA AMERICA nous rappelé que le foot reste une realité du monde que nous traversons. On peut pas dire qu’on est pas au courant.

Bien sur apres les evenements bleus de la derniere coupe du monde, je m’étais promis de ne plus regarder de football, bien convaincu que la comprehension fine du jeux ne pouvait relever que de 3 types de professionnels : psychologues, syndicalistes ou financiers de haut vol.

Mais le foot c’est plus fort que ça et ici en Argentine, il est impossible de ne pas être touché par la Vibration Nationale.

River se fué a la B

Tout a commencé avec le RIVER PLATE. Ca s’est fait d’un oeuil distrait. Comme ça, en passant chez les gens qui avaient la télé allumée. Le Riber c’est un peu comme le PSG ou l’OM. C’est un club aussi important que la presidente de la république : qu’on aime ou qu’on aime pas, il est là et bien là. Et cette année c’est le drame. Suite a trois années de mauvais résultats, le River Plate a été obligé de se farcire un match ou la meilleur équipe de la 2eme division (La B) les a rencontré, eux, les plus mauvais de la A. Et… Et… Et… ils ont perdu. Vraiment je regardais distraitement la télé. Il y avait des gens a qui parler a coté de moi à table, c’est pour dire. Et puis d’un coup il y a eu des supporters du River sur le terrain. Le genre un-peu-cagoulés qui s’apprete a faire un truc dont il sera fier toute sa vie. Mais ils ne sont pas allés casser les bras du gardien de but adverse ou faire manger son sifflet a l’arbitre, ils sont allés engueuller leurs joueurs. Un joueur s’est fait parler très très pres de l’oreille et pousser dans le dos. Le pauvre ne faisait pas son fierro bien que possedant une coupe de cheveux new-wave-fashion-VIP-J.Desange (Je ment un peu sur la coupe de cheveux). Malgré cette tentative de reprise en main du coaching, le River n’a pas gagné le match. Ce n’etait que le match allé. Pour encourager leurs joueurs dans la tourmante, les supporters ont tenté de casser leur stade à Buenos Aires (Oui le river c’est un des clubs de Buenos Aires).
La télé a parle de ça chaque jour. Comme pour la guerre en Irak, les mêmes images qui tournent en boucles accompagnées des commentaires spiraleux des philosophes du foot. On a quand même appris que les gars qui etaient rentrés sur le terrain sont plus que des « ultras ». Ce sont des mecs qui vivent de la gestion des clubs de supporters et de la revente de places de match. Si River va en B, ils vont gagner beaucoup moins d’argent.
Ensuite il y a eu le match retour que nous n’avons pas regardé et le River a été officielement relegué en B. Les images de fin de match furent passées tout autant en boucles : le staff et les joueurs reunis au milieux du terrain, pleurants. Ca donnait une sorte de meditation pour accepter qu’ils etaient devenus CEUX qui ont fait basculer le River en B. C’est un drame national, un moment classé historique peut être au même titre que l’indépendance. On en parle encore a la télé. Il y a pas mal de videos qui trainent. Voici quelques échantillons. En particulier la premiere qui parle d’une technique pour reduire la honte sur le club : le t-shirt, lui, ne descend pas !!!!!


La copa america

Deuxième évenement important du football Argentin. Cette année c’est la copa America. C’est comme la coupe d’europe mais pour l’amerique (Sans Les USA et le Canada, faut pas deconner). C’est l’Argentine qui organise. Certainement chacun se dit qu’une victoire a la maison fera oublier la relégation du river. La coupe est rapide. Une serie de 3 pool pour selectionner 8 quart de finalistes. Le premier match a eu lieu alors que nous arrivions en couchsurfing à Tucuman. Nos hotes avaient prévu de regarder comme de bons argentins. On s’est donc mis avec plaisir dans la peau des argentins pour supporter notre pays d’adoption. Argentine – Bolivia a fini sur 1-1, ça fait pas trop plaisir.
Match suivant encore plus decevant contre la Colombie 0-0. C’est le dernier match contre le Costa Rica qui a été decisif : victoire 3-0.

A noter que nous n’avons pas regardé le match mais que de la chambre d’hotel (A Cafayate) nous avons pu compter les buts en fonction des réactions des supporters devant la télé du salon. L’honneur était donc sauf et l’entraineur pouvait se frotter le coup pour verifier qu’il n’était pas tranché. Lionel Messi, entré sous les sifflets de la foule ressort en hero national. Mais…
Helas l’argentine fut eliminée en quart de finale par l’Uruguay. On a regardé ça de Salta. Tout était prets, chips a droite, bouteille de blanc a gauche, les meilleurs fauteuils de l’hotel sous nos fesses. A la fin du 1-1, vint la maniere la plus idiote de finir un match de foot (Selon moi), une séance de tires au but ou un joueur endossera inévitablement la responsabilité de faire chuter son équipe. C’est beau le foot, deja qu’il n’y a pas de caméra…

Voila. J’ecris l’article avant la fin de la Copa pour que les amis du foot puissent regarder (Comme nous) les 2 derniers matchs : 1/2 finale le 20 entre le Paraguay et le Venezuela et la finale ou se trouve deja l’Uruguay.

Personnellement je retournerais dans ma caverne sans-foot dés que sera fini la Copa. Le temps économisé passera peut etre dans la redaction d’un article communt sur le cricket et le base-ball que nous avons entrevu a l’époque en Inde et au Japon.

Bon match les enfants.

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A Cafayate, encore de superbes paysages

(Du 11 au 13 juillet 2011)

 

A peine arrivés avec nos copines du jour, on se fait la 1ere attraction touristique de Cafayate : dégustation de glace au vin !
Il faut dire que la région est spécialisée dans le Torrontés, un vin blanc pas mauvais du tout. Bon, pour les autres, il y a aussi une glace au Cabernet Sauvignon…

Hmmmm la glace au vin !

Et puis, on est allés se trouver un petit hotel familial avec Philippe. Plutot sympa.

Et… des le lendemain, on est parti en excursion dans la Quebrada de las Conchas. Oui, on avoue, on a fait un truc de vieux… A la base, on voulait le faire en vélo et puis, voyant que la balade en vélo ou en minibus nous couterait a peu pres pareil… eh ben on a craqué… Ca c’était notre état d’esprit au début… et puis, on n’a pas regretté !
D’une part le guide, Ismael, a été absolument parfait. On n’était qu’un tout petit groupe, avec 3 argentines. Et puis surtout, meme en se faisant balader et en marchant sur les sites… eh ben on est revenus sur les rotules !

La Quebrada de la Conchas aussi appelée de Cafayate, est un lieu magnifique composé de formations géologiques gigantesques, pleines de couleurs et… je vous laisse vous faire une idée…

Avec nos copines argentines du jour

Comme d´hab Philippe s´est trouvé un copain lama...

Allez ! Dans l´trou !

On les appelle « de las conchas » qui veut dire coquillage en espagnol puisqu’avant, tout cela était sous l’eau ! Et les fouilles ont retrouvéss pleins de Conchas !

Quand on est revenus, on a acheté des Alfajores ! C’est trop bon, c’est au Dulce de Leche !
On a donc fait un repas d´empanadas, achetées a la Casa de las Empanadas. Ils font 12 sortes différentes et elles sont excellentes. Et en dessert, evidemment, des alfajores (lien en espagnol mais vous pouvez toujours regarder les photos…)
On a mangé de la salade aussi, ho !

Note spéciale foot : Cette fois-ci, on n´a pas regardé le match, parce qu´il passait trop tard… eh ben on savait que l´Argentine avait mis 3 buts au Costa Rica ! Et ca, rien qu´avec les cris entendus depuis notre chambre d´hotel…

Pi, cette fois-ci, on était motivés pour enchainer ce qui fait que dès le lendemain on était déjà sur la route en direction de Salta. Voyons voir…

 

Photos en vrac :

Avec Meredith

Le fameux humour francais...

La route elle est cassée...

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