Shanghai

Shanghai du 10 au 18 octobre 2010

Shanghai, c’est d’abord une nouvelle facon de visiter la chine. Le couchsurfing qu’on a decouvert au Japon, va etre pratique en chine et nous donner un point de vue un peu different sur le pays. A Shanghai, c’est Mei Di qui va nous recevoir. Il habite a coter de l’universite. Apres 35 minute de metro, quel bonheur de sortir dans ce quartier pas touristique pour un sous. Un restaurateur qui nous voit reflechir avec les gros sacs propose son aide et appelle Mei pour nous. 5min plus tard, Mei fait visiter son petit appartement ou l’on dormira dans le salon. Atterrissage reussi, c’est l’heure de manger des petits pains fourres a la viande, cuits a la vapeur. Le quartier ou vit Mei est tres populaire, avec une universite a coter. Il arrive de voir un etranger ou deux, mais ce sont tous des etudiants. Dans la rue commercante il y a tous les magasins, restaurants, banques, poste et cafes internet necessaires. Pour aller au metro, c’est soit le bus soit un tricycle-moto-taxi pour 5yuan la course (65centime d’euros).

Shanghai, c’est une de ces grosses ville chinoise ou vivent 20 millions de personnes. Il y a un vieux Shanghai, un nouveau Shanghai, un Shanghai pauvre, un Shanghai ultra riche, un anodin, un universitaire. On a fait quatres choses a Shanghai : le  gratte-ciel moderne de  shangshai, le Shanghai ancien pres du fleuve, le musee de Shanghai et l’exposition universelle qui fait l’objet d’un article de blog a part.

La grande tour. En face du bund, l’ancien quartier du bizz coloniale, il y a le quartier des nouvelles affaires, le quartier des gratte-ciel qui est vraiment l’image d’epinale de Shanghai. C’est Pudong. Au milieu de Pudong, il y a la tour qui ressemble a un ouvre bouteille (Commentaire Shanghaien) : le World Financial Center (SWFC). Il n’aura pas fallu 1  minute a l’ascenseur pour arriver au 97eme etage. De la, la vue est deja epatante mais en prenant l’escalier il est possible d’aller se percher encore plus haut dans les 450m au dessus du niveau de la rue. Seul les photos peuvent vraiment parler. Si, un truc marrant. La plateforme la plus haute est installee dans la « passerelle » de l’ouvre bouteille et il y a des dalles transparentes pour regarder un peu plus en direction de la rue. Les chinois viennent de partout pour visiter Shanghai, certains de si loin qu’ils n’osent pas marcher sur les dalles en verre… on se moque pas, c’est mignon tout plein.

Un des joyaux historique de Shanghai est l’ensemble des batiments « coloniaux  » situes le long du fleuve juste en face du quartier moderne. Cette zone s’appelle le bund. La plupart des societes europeennes qui sont venu faire des affaires a Shanghai ont installe leur bureau (Fin XIX debut XXeme siecle) ici, a porte de pied du debarcadere. La zone est aussi marquee par les evenements d’invasion japonaise et de liberation quelques annees plus tard.

Le musee de Shanghai. C’est un gros batiment au milieu d’un parc lui meme au milieu de hauts batiments. Un des coeurs de Shanghai. Tous l’art chinois y est rassemble. Les estampes, les encres, les poteries. Une exposition tres interessante : celle des tres tres tres vieux bronzes et metaux. Ce sont des cloches, des pots a cuisson, des lames de hache ou des objets de culte. La finesse des decorations, pour l’epoque, laisse pantois. Par contre, l’exposition speciale des objet royaux de la reine victoria (Ca a du couter bonbon de les ramener), nous rappelle qu’au milieu du XIXeme siecle, la chine peaufinait son style a l’encre, tandis que l’europe sur-maitrisait la technique de pienture pour realiser des portraits proche de la photographie qui devraient traverser le temps. Aussi, de nombreux objet fin comme des pendules, des services de tables, des habits, etaient aussi plus elabores que les creations chinoises exposees dans ce Musee ou a la citee interdite. C’est pas pour critiquer. Comme on disait, les bronzes incrustes laissent reveur.

Mei est le premier chinois chez qui l’on vit. C’est un etudiant en art. Il bosse pas mal sur ordinateur, c’est un maitre de photoshop. Un jour il a fait avec Philippe un montage de plusieur photos. ca donne Philippe clone en 5 exemplaires dans son salon. Aucune sortie n’a ete faite en commun mais il y avait le soir pour discuter. Aussi, Mei nous a appris a faire des raviolis chinoises. C’etait bien rigolo.

Combat de crickets (Shanghai) by philadia


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