(Du 29 septembre au 2 octobre 2011)
Sucre est une ville phare de la Bolivie. C’est le joyaux national, qui repose sur la « beautée » de l’architecture coloniale. Ici nous n’avons pas relevé, comme a Cuzco, de trace directe d’un écrasement direct de l’art inca par l’architecture coloniale, d’ailleur aucun éléments parlant d’une ville anterieur a Sucre ne nous est tombée sous les yeux. L’histoire de la Bolivie, de l’ancien Perou, de la region, n’existe pas avant Sucre. En France, on se souvient encore des gaullois…
La ville est effectivement bien belle, bien blanche comme dans les pays chauds qui ont assez de fric pour blanchir les murs.. Le climat est réputé agréable. On s’est vraiment installée au coeur du quartier historique, en face du marché oú nous affectionnons manger en bolivie.
Le passage a été relativement court. On a eu le temps de visiter le monastère en haut de la colline qui regorge de trésores d’art religieux. On a aussi essayé de visiter quelques églises qui s’avérerent fermées mais ça a permis de se ballader en ville quand même. Enfin, en dépit des églises, une visite au cimetière s’est imposée.
Coter coeur, c’est au marché que les emplettes ont été faites. Rencontre à table avec un couple de retraités boliviens qui sont venus loger a notre hotel et avec qui nous avons fait une petite ballade dans un parc de la ville. Le monsieur avait fait ses études il y a 40 ans à Sucre, il fut le guide. Aussi au marché, un couple de Français de notre age en vadrouille pour un an. Ils étaient aussi abonnés que nous aux marchandes de jus de fruits frais, si traditionnelles dans un marché bolivien.
Le passage a Sucre est assez réussi. On peut confirmer que la ville est un incontournable du pays.
